Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée

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sam 13/04/2019
20 h 30 - 22 h 00

Lieu
Salle des fêtes d'Ouzouer sur Trésée
9 bis rue du stade
45250 Ouzouer sur Trézée

Troupe

Renseignements :





QUELQUES NOTES POUR ATTENDRE L’OUVERTURE DU RIDEAU

Passionné de théâtre dès l’adolescence, « Je veux être Shakespeare ou Schiller », Alfred de Musset romantique par son extrême sensibilité et son exaltation de l’amour en est néanmoins considéré comme un enfant terrible. Dandy dissipé, dépressif, débauché puis malade, il n’écrira sur la fin de sa vie que des « commandes ».

C’est donc dans la force de sa jeunesse qu’il publie coup sur coup en 1833 et 1834 ses trois chefs d’œuvres : « Les caprices de Marianne », « On ne badine pas avec l’amour » ou « Lorenzaccio » et des poèmes tourmentés, dont nombreux étaient inspirés de sa liaison « tumultueuse » avec George Sand. Il publiera aussi une série sous le titre : « Les comédies et les proverbes » qui est la prolongation de son choix de « théâtre de fauteuil » où le texte est lu dans un salon devant quelques personnes. On ne manque jamais d’évoquer à leurs propos Marivaux et le « marivaudage »…
« Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée », un de ces proverbes en un acte, joue sur la thématique de la déclaration d’amour impossible. Musset dans ce texte oppose deux points de vue différents : celui de la femme et celui de l’homme. Quand la Marquise suggère au Comte de fermer la porte, est-ce au monde extérieur… pour s’ouvrir à l’intimité de l’amour, après avoir expédié les civilités de rigueur ? Le titre est-il une métaphore osée de la situation ?

Mise en scène Elisa Chicaud
Avec : Martine Dalert La Marquise
Jacques Terraz Le Comte

Réalisation des Décors Jacques Terraz
Décoratrice Elisa Chicaud
Aquarelliste Florence Deschamps
Affiche et visuels Jean-Marie Tremblay
Musique Chopin, Liszt, Schumann, Massenet.

Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée

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dim 28/04/2019
15 h 00 - 17 h 00

Lieu
Salle Jeanne d'Arc de Lormes
641 Grande rue du four
58140 Lormes

Troupe

Renseignements :





QUELQUES NOTES POUR ATTENDRE L’OUVERTURE DU RIDEAU

Passionné de théâtre dès l’adolescence, « Je veux être Shakespeare ou Schiller », Alfred de Musset romantique par son extrême sensibilité et son exaltation de l’amour en est néanmoins considéré comme un enfant terrible. Dandy dissipé, dépressif, débauché puis malade, il n’écrira sur la fin de sa vie que des « commandes ».

C’est donc dans la force de sa jeunesse qu’il publie coup sur coup en 1833 et 1834 ses trois chefs d’œuvres : « Les caprices de Marianne », « On ne badine pas avec l’amour » ou « Lorenzaccio » et des poèmes tourmentés, dont nombreux étaient inspirés de sa liaison « tumultueuse » avec George Sand. Il publiera aussi une série sous le titre : « Les comédies et les proverbes » qui est la prolongation de son choix de « théâtre de fauteuil » où le texte est lu dans un salon devant quelques personnes. On ne manque jamais d’évoquer à leurs propos Marivaux et le « marivaudage »…
« Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée », un de ces proverbes en un acte, joue sur la thématique de la déclaration d’amour impossible. Musset dans ce texte oppose deux points de vue différents : celui de la femme et celui de l’homme. Quand la Marquise suggère au Comte de fermer la porte, est-ce au monde extérieur… pour s’ouvrir à l’intimité de l’amour, après avoir expédié les civilités de rigueur ? Le titre est-il une métaphore osée de la situation ?

Mise en scène Elisa Chicaud
Avec : Martine Dalert La Marquise
Jacques Terraz Le Comte

Réalisation des Décors Jacques Terraz
Décoratrice Elisa Chicaud
Aquarelliste Florence Deschamps
Affiche et visuels Jean-Marie Tremblay
Musique Chopin, Liszt, Schumann, Massenet.

Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée

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dim 28/04/2019
15 h 00 - 17 h 00

Lieu
Salle Jeanne d'Arc de Lormes
641 Grande rue du four
58140 Lormes

Troupe

Renseignements :





QUELQUES NOTES POUR ATTENDRE L’OUVERTURE DU RIDEAU

Passionné de théâtre dès l’adolescence, « Je veux être Shakespeare ou Schiller », Alfred de Musset romantique par son extrême sensibilité et son exaltation de l’amour en est néanmoins considéré comme un enfant terrible. Dandy dissipé, dépressif, débauché puis malade, il n’écrira sur la fin de sa vie que des « commandes ».

C’est donc dans la force de sa jeunesse qu’il publie coup sur coup en 1833 et 1834 ses trois chefs d’œuvres : « Les caprices de Marianne », « On ne badine pas avec l’amour » ou « Lorenzaccio » et des poèmes tourmentés, dont nombreux étaient inspirés de sa liaison « tumultueuse » avec George Sand. Il publiera aussi une série sous le titre : « Les comédies et les proverbes » qui est la prolongation de son choix de « théâtre de fauteuil » où le texte est lu dans un salon devant quelques personnes. On ne manque jamais d’évoquer à leurs propos Marivaux et le « marivaudage »…
« Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée », un de ces proverbes en un acte, joue sur la thématique de la déclaration d’amour impossible. Musset dans ce texte oppose deux points de vue différents : celui de la femme et celui de l’homme. Quand la Marquise suggère au Comte de fermer la porte, est-ce au monde extérieur… pour s’ouvrir à l’intimité de l’amour, après avoir expédié les civilités de rigueur ? Le titre est-il une métaphore osée de la situation ?

Mise en scène Elisa Chicaud
Avec : Martine Dalert La Marquise
Jacques Terraz Le Comte

Réalisation des Décors Jacques Terraz
Décoratrice Elisa Chicaud
Aquarelliste Florence Deschamps
Affiche et visuels Jean-Marie Tremblay
Musique Chopin, Liszt, Schumann, Massenet.

Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée

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sam 04/05/2019
20 h 30 - 22 h 30

Lieu
Salle des Montelièvres
24 grande rue
91250 Morsang sur Seine

Troupe

Renseignements :





QUELQUES NOTES POUR ATTENDRE L’OUVERTURE DU RIDEAU

Passionné de théâtre dès l’adolescence, « Je veux être Shakespeare ou Schiller », Alfred de Musset romantique par son extrême sensibilité et son exaltation de l’amour en est néanmoins considéré comme un enfant terrible. Dandy dissipé, dépressif, débauché puis malade, il n’écrira sur la fin de sa vie que des « commandes ».

C’est donc dans la force de sa jeunesse qu’il publie coup sur coup en 1833 et 1834 ses trois chefs d’œuvres : « Les caprices de Marianne », « On ne badine pas avec l’amour » ou « Lorenzaccio » et des poèmes tourmentés, dont nombreux étaient inspirés de sa liaison « tumultueuse » avec George Sand. Il publiera aussi une série sous le titre : « Les comédies et les proverbes » qui est la prolongation de son choix de « théâtre de fauteuil » où le texte est lu dans un salon devant quelques personnes. On ne manque jamais d’évoquer à leurs propos Marivaux et le « marivaudage »…
« Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée », un de ces proverbes en un acte, joue sur la thématique de la déclaration d’amour impossible. Musset dans ce texte oppose deux points de vue différents : celui de la femme et celui de l’homme. Quand la Marquise suggère au Comte de fermer la porte, est-ce au monde extérieur… pour s’ouvrir à l’intimité de l’amour, après avoir expédié les civilités de rigueur ? Le titre est-il une métaphore osée de la situation ?

Mise en scène Elisa Chicaud
Avec : Martine Dalert La Marquise
Jacques Terraz Le Comte

Réalisation des Décors Jacques Terraz
Décoratrice Elisa Chicaud
Aquarelliste Florence Deschamps
Affiche et visuels Jean-Marie Tremblay
Musique Chopin, Liszt, Schumann, Massenet.